En montagne

Catégories : Libertins
il y a 5 ans
J’avais déjà fait des randonnées de plusieurs jours en montagne, seul, en famille ou dans des groupes organisés, lorsque Jean, mon médecin, m’a proposé de me joindre à son groupe d’amis pour randonner autour de l’Oisans.

À l’hôtel de Besse, où nous avions rendez-vous, j’ai retrouvé Thérèse, l’épouse de Jean ; Paul et sa femme Josiane ; Yves, et Catherine, lui fonctionnaire, elle médecin ; Claude et Jacqueline, lui dentiste et elle commerçante; tous entre trente-cinq et quarante-cinq ans. Nous avons accompli ce périple avec des étapes à la Grave, le Monetier, Ailefroide et le refuge du Glacier blanc ; chaque jour, environ 1 000 mètres de dénivelée à la montée, avec un imperturbable grand beau, chaud même.

Tout le monde a sagement dormi dans sa chambre la première nuit mais, dès la halte de midi, près d’un torrent, le premier jour, les femmes ont pris prétexte de la chaleur pour bronzer torse nu et inviter les hommes à les imiter. Quelques langues égarées contre d’autres langues, des caresses appuyées entre Paul et Thérèse, Yves et Jacqueline, Catherine et Jean ; je n’avais pas été mis au parfum mais j’ai vite participé, picorant à tous les becs féminins et soutenant de la paume des seins adorables.

Sérieuse randonnée l’après-midi mais, donnant à son époux un sac ne contenant rien d’autre que son nécessaire de toilette, Thérèse marcha longtemps nue, avec tout de même ses chaussures de randonnée.

Le soir, à la Grave, nous couchions en refuge, tous dans le même dortoir ; et il en fut ainsi tous les soirs. Quelques privautés vagabondes avant le dîner, sans plus, tout le monde à poil une fois refermée la porte du dortoir, c’était leur tradition. Ayant l’habitude de se faire honorer par quatre hommes, ces dames avaient pensé que ce serait mieux d’en avoir cinq, j’avais été choisi pour ma réputation de « baiseur à répétition ».

Pipes et baises successives, histoires très salaces où il était fort question d’enculages, histoires suivies de mise en pratique ; toutes les femmes offrirent leurs fions frémissants, les hommes aussi, il y avait des godes ceinture au fond des sacs. Scénario plus corsé le lendemain, tout le monde à poil au déjeuner, Jacqueline et Thérèse seulement se firent baiser, marchant nues une partie de l’après-midi, imitées par Paul et moi qui avions tout de même conservé nos sacs.

Dans le dortoir du Monetier, avant le dîner, les trois femmes, à poil et jambes tenues largement écartées par un assistant, s’astiquèrent le clito et se firent lécher chatte et cul devant les hommes qui bandaient. À 20h30 et après tirage au sort, Yves et Thérèse furent liés ensemble, ventre contre ventre, les bras attachés à un crochet du plafond ; avec chacun un plug dans le cul ils reçurent quelques claques et coups de fouet sur les fesses par chaque participant, il y avait décidément du matériel dans les sacs. Embrochés pendant la séance, les deux martyrs eurent ensuite à décider qui, et avec qui, allait engloutir des bites, lécher chattes et culs, baiser, enculer et fesser.

Le lendemain, à Ailefroide, je me suis enfilé dans le fondement, en public, un morceau de rondin ramassé dans la cour, puis ai demandé à me faire fister. Lavement par le médecin puis les trois femmes m’ont mis la main dans le cul, suivies par les quatre hommes ; il paraît que c’était nouveau entre eux, mais cela s’est renouvelé chaque soir. Extinction des lumières à 23h30 : seulement 676 mètres de montée le lendemain, depuis le Pré de madame Carle jusqu’au au refuge du Glacier blanc.

Étant seuls à ce refuge, nous n’avons pas attendu d’être dans le dortoir pour nous mettre à poil, préparant la popote et dînant en cette tenue légère. Quelques langues égarées, quelques mains sur des fesses, des doigts dans des bouches, des chattes et des culs, c’était inévitable. Partant le lendemain matin à 5 heures pour l’ascension du pic des Agneaux, nous avons été sages dès 22 heures, il n’y eut qu’une courte séance au dortoir. Courte, mais intense : deux couples, Claude et Catherine, Jacqueline et moi, embrochés et attachés ventre contre ventre, fessés, plug au cul et épingles dans les fesses. Baise et enculage à volonté pour tous, mais aucune photo.

J’ai fait d’autres randonnées, en Vanoise, dans le Mercantour et en Suisse, avec ce groupe où nous avons été jusqu’à douze. J’ai beaucoup aimé la montagne avec de tels partenaires.

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